Lilla s’en fiche aime la bagnole
S’encapote pour la rigole
Cuisses en voiles aime la botte
Pour un baiser volé aux potes
Assise sur la portière se pose
Sur ses aiguilles sexy sans roses
La rose c’est elle dans sa poitrine
Donne son corps sans térébenthine
Lilla s’en fiche aime sa bagnole
Montre patte blanche et s’enrôle
Dans l’influence du rêve à l’euphorie
Abat le cœur de l’étranger la nuit
Allongée sur sa banquette de cuir
Enfièvre habilement pour agir
Sur l’affaiblissement de l’esprit
Sur toile à lui donner la vie
Lilla se fiche bien de la transparence
Elle se décapote devant l’essence
Mortelle pour son vieil ado éternel
Dégaine sa beauté même en jarretelles
Huilée pour être bien balancée
Accroche les idées sans les farder
De la vérité sur les envies de transports
Eros montrant sans honte son corps
Lilla déshabillée se fiche vraiment
D’être féminine pour ses penchants
Elle a ce qu’il faut là où il faut
Pour pansements par un pinceau
Affriolante de sa pellicule à défier
Le fétichiste qui s’y est abonné
Pourrait même le faire capoter
Dans ses étapes à trop la regarder
« Lylla se mire profondément
Dans le miroir des yeux de ses confidents »
MP/MDV-Poésienne
Le 13 Juin 2011
© Tous droits réservés
Ah je la connais elle, Lilla...:), aussi Muse et ses amis, coups de coeur pour artistes, merci encore!
RépondreSupprimerMerci à toi "l'Artiste" .. :)
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